Dans le cercle invisible, les corps sondent pour trouver leur place.
Les miroirs déformés reflètent les fondations chancelantes du vieux monde installé.
Les exclu-e-s cherchent, à travers le verre, un nouvel ordre.
Les mains assemblent des vestiges pour tenter de (r)établir l’équilibre.
Sur la table, gisent leurs larmes de cire des centaines d’années.
Dans le cercle invisible les bouches espèrent finir, un jour, sous la lumière.
Travail réalisé dans le cadre de l'exposition Stammtisch avec le Collectif le Salon (Photoforum, Bienne du 3 mai au 25 août 2024).